Le lac Mamiomby |
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points forts de ce parcours:
la pierre levée à la mémoire de Ralambo, descente
sur le lac Mamiomby et l' ascension du massif AMBATOMAHABODO 1461
m magnifiques panoramas
54 km une
autre variante plus courte par MANDIALAZA 48 km |
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profil track |
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Vavahady
du village de MASINDRAY |
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Tamboho |
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village ANKERIBE et son fossé défensif |
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Sur la piste menant au sommet de l' Andringitra
une pierre levée à la mémoire de Ralambo
qui selon la légende fut le premier à consommer la
viande de zébu dans le royaume |
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lac MAMIOMBY littéralement le zébu
sucré.......... Vidéo
du lac |
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fleur du roseau et nénuphare |
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plaine d' Antanetibe |
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A Madagascar comme dans de nombreux pays
du globe, cultiver la terre tout en la préservant est un
véritable défi.
Cultiver la terre malgache : état des lieux
Déjà, dans les années 50, l’aspect destructeur
de l’exploitation des sols était souligné. A
l’époque, le café, la vanille et le tabac représentaient
55% de la valeur des exportations agricoles (chiffres de 1957).
Le riz, base de l’alimentation malgache, était produit
de manière intensive.
Dans La géographie universelle Larousse publiée en
1959, l’auteur de l’article sur la Grande Ile note :
que de procédés primitifs destructeurs du sol ! Incendies
de forêt pour installer les TAVY temporaires (Terme
malgache pour culture sur brûlis ) feux de brousse pour
ranimer les pâturages. Les deux procédés appauvrissent
la terre et ne permettent pas de développer une agriculture
pérenne. |
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ascension du massif AMBATOMAHABODO
1461 m |
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Un autre danger : l’exploitation
forestière
L’exploitation forestière est un problème
dans les forêts tropicales de l’Est de Madagascar,
particulièrement dans la péninsule Masoala. À
cause de la grande valeur du bois malgache (essentiellement l’ébène
et le bois de rose), ce dernier est exploité de manière
illégale dans certaines zones protégées.
Les coupes sauvages ainsi opérées ont des conséquences
désastreuses sur la faune qui habitent ces régions,
car ce sont ses lieux de vie même qui sont ainsi détruits.
Cinquante ans plus tard, la situation ne s’est pas améliorée.
Le riz occupe aujourd’hui 61% des terres cultivées
et on estime que chaque habitant de l’île consomme
en moyenne 200kg de riz par an.
Les exploitations sont généralement de petite taille
(1,4ha par exploitation). En tout, on compte 3 millions d’hectares
cultivés.
Et pour développer ces exploitations, les Malgaches utilisent
essentiellement la culture sur brûlis. La forêt tropicale
est ainsi transformée en rizières.
chaque année, environ un tiers de Madagascar part en
fumée à cause des feux allumés par les agriculteurs
afin de dégager des terres pour l’agriculture et
l’élevage.
Par exemple, on coupe un ou deux acres de forêts, on les
brûle, avant d’y planter du riz. Après un ou
deux ans de production, la parcelle est laissée au repos
pendant 4 à 6 ans, puis on répète le procédé.
Au bout de 2 ou 3 cycles, les richesses naturelles du sol sont
épuisées et la terre est envahie par des broussailles
ou de l’herbe. Sur les pentes, la nouvelle végétation
est souvent insuffisante pour tenir la terre, provoquant ainsi
érosion et glissements de terrains. |
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Le TAVYest le plus sûr moyen pour
les Malgaches de subvenir aux besoins de leur famille ; compte
tenu de l’état de pauvreté dans lequel ils
vivent, les conséquences à long terme de leurs actions
ne sont pas leur première préoccupation. De leur
point de vue, s’il reste de la forêt à brûler,
autant le faire avant le voisin.
Couvrir leurs besoins alimentaires journaliers est une priorité
pour les Malgaches. Il est difficile de changer d’habitudes
lorsqu’on n’a pas assez à manger. Mais protéger
la terre est aussi la garantie qu’elle continuera à
produire suffisamment les années suivantes.
Luce Michel pour Planète Urgence (France)
http://www.infosdelaplanete.org/5979/l-agriculture-a-madagascar.html
Pourquoi n’observe-t-on pas dans le Sud-Ouest malgache,
comme dans la plupart des régions tropicales humides, un
retour de la forêt ? D’une part, les terres abandonnées
par la culture sont réaffectées à d’autres
usages (paturâge, prélèvement de bois d’œuvre
et d’énergie) et régulièrement parcourues
par des feux de brousse. D’autre part, les conditions climatiques
plus arides du sud malgache induisent une dynamique plus lente
de la végétation. Enfin, la fragilité et
la faible compétitivité de la flore forestière
endémique ne concourent pas à la reconstitution
de forêts secondaires.
extrait et suite sur http://www.ird.fr/la-mediatheque/fiches-d-actualites-scientifiques/112-madagascar-la-foret-en-danger
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Village abandonné d' ANDILAMBATO |
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Thierry le clown
vidéo Thierry
fait le clown |
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paysans d' Antanetibe |
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Ambohipoloalina
vue du village de MANAKASINA |
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paysans de Manakasina |
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Porte cochère village
de Manakasina |
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Sourire de Manakasina |
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Manakasina village fleuri |
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Tamboho protégant la maison |
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rizières au pied d' Ambohipoloalina |
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